• PAI

    PAI

    PAI

     

    Contents de nous retrouver nous décidons de partir pour PAI, au nord Ouest, site incontournable pour les roots, que nous sommes bien entendu !

     

    On nous avait prévenu : une route aux 1450 virages, gare aux personnes sujettes au mal des transports … C’était rien de le dire !

     

    Mais quel paysage ! cocotiers, bananiers, arbres du voyageur, tamarins, eucalyptus… couvrant les montagnes environnantes. Nous grimpons, nous descendons, nous sommes brinquebalés de droite, de gauche dans un foutu mini bus dans lequel nous sommes entassés avec nos bagages, mais nous tenons bon !

    PAI

    4 heures pour 130 kms entre CHIANG MAI et PAI, c’est  dire.

     

    Arrivée à PAI : Impression immédiate de se trouver dans les années 60, avec une population hippy à 100%.PAI Tout ici sent la bohème, peace and love, les fleurs dans les cheveux,PAI les bracelets multiples aux pieds, aux poignets. Les gens ont le sourire, ne s’en font pas un seul instant. On a la sensation que le temps s’est arrêté ici pour que chacun puisse s’adonner qu’aux plaisirs de la vie. Sauf que, bien entendu, tout cela est bien enveloppé dans un commerce omniprésent,PAI mais qui, je dois l’avouer, est beaucoup moins pesant qu’ailleurs en Thaïlande.

     

    On se trouve une petite guesthouse pas trop chère, on ne dormira pas de la  nuit, tellement le matelas était « thai », c'est-à-dire  extrêment dur, à même le sol. Bon d’accord, on avait flashé sur la déco zen de cette maison en teck …

     

    Le lendemain, en déambulant dans la ville, on découvrira que tout se passe de l’autre côté de la rivière ! des villages de huttes dans la nature, parsemée de fleurs et de cocotiers. Inutile de dire que l’on a vite décampé de notre maison destinée aux lombalgies aigues.

    PAI

    Nous resterons 4 nuits à Pai, en variant les plaisirs de la balade à vespa dans les montagnes,PAI les arrêts dans des spots baba-cool tenus par des rastas en mal de reggae dans la jungle, PAIles restos et bars sympas, et le bonheur du hamac sur la varangue…

     PAI

    Nous décidons, après cette halte très bucolique de ne pas poursuivre vers le nord, car nous manquons de temps pour bien le visiter.

     

    Nous reprendrons le train de nuit pour Bangkok (14 h) et terminerons notre séjour en Thaïlande par 4 jours sur l’Ile de KOH SAMET, d’où il sera aisé de repartir en fin de séjour, sans trop nous prendre la tête avec des temps de trajets démesurés.

     

     

     


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  • CHIANG MAI

     

     train de nuit de BKK ...

     

     

     Dans nos couchettes respectives, un peu de rigolade, d'installation et de diner sur le pouce. En route pour 14 heures pas si désagréables que ça !

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

    Un petit déjeuner de luxe "à la française", servi sur place, avec frites froides, sandwich mode sncf (et oui!) et nescafé à 8 heures du mat, ça de quoi vous décoiffer le plus téméraire des gouteurs de nouvelles saveurs !

      

      

    Depuis le temps qu'on nous vantait les qualités de cette ville, pour son côté baba cool, serein, authentique, moins touristique, artisanal, culturel, bref comme on aime, on allait voir …

     

    Arrivée dans notre guesthouse chez Julie’s, effectivement routarde à souhait et bien évidemment très décontractée. Nous notons nous-mêmes nos consommations sur un carnet, confiance oblige…billard à disposition, chambre ultra simple mais avec eau chaude, le tout pour 300 baths pour 2  (7,50 euros) par jour.

     

    En fait tout ici est moins cher au moins de 20%. Le plat vaut entre 30/40 baths dans les bouibouis et 80/100 baths dans les restos. L’accueil y est nettement plus chaleureux et souriant que partout ailleurs, c’est vrai.

     

    Nous commençons Kévin et moi à nous repérer dans la ville , dont l’enceinte est un carré parfait, entouré de douves remplies d’eau, et d’une sorte d’avenue tout autour très fréquentée en terme de traffic automobile.

     

    Nous arpentons les rues à l’extérieur de cette enceinte et nous dirigeons vers le Night Bazar. Nous y trouvons quelques belles boutiques artisanales ; Kévin craque pour une cloche (musique si tu nous tiens), et nous dirigeons vers le Warorot market, qui nous est indiqué comme plus thai que fareng (pour les étrangers). Nourriture et légumes à gogos. Nous décidons de nous  alimenter là,  dans des espèces de cantines avec de toutes petites tables recouvertes de toile cirée à fleurs bien kitchy. Evidemment personne ne parle Anglais, et nous nous servons de notre talent de persuasion par les mains pour nous faire comprendre. Délicieux repas pour  0,80 euros, boisson comprise. Ambiance garantie .

     

    Nous essayons de trouver ce que nous espérons, en vain. Nous déambulons et sommes quelque peu désemparés devant le manque d’intérêt de notre environnement.

    Le soir, on cherche un bar musical qu’on m’avait indiqué à Koh Lanta. Grosse déception. Minable.

    Nous rentrons un peu déçus, et décidons de louer un sooter pour mieux visiter.

    Le lendemain, départ pour Doi Suthep, temple bouddhique en haut d’une montagne. On commence fort pour notre première expérience en scoot ! Kévin assure un maximum et moi je fais semblant de ne pas avoir peur. En fait, on a un peu la trouille tous les deux. On se l’avouera après ! mais tout est parfait, Kévin est très prudent, mais au fur et à mesure de la montée, je m’inquiète de la descente … qui se fait sur une voie seulement.

     

     

    Site magnifique, panorama exceptionnel sur Chiang Mai, et surtout un temple d’une rare beauté, habité par des moines  qui se sont octroyé (comme partout en Thailande) les plus beaux endroits pour leur activité. Ils se gâtent … Jardin de rêve, habitation dans un lieu sublime. Et puis des offrandes qui leur sont destinées sur des centaines d’urnes disséminées  tous les deux mètres, au cas où on oublierait que c’est le peuple qui doit  les nourrir.

     

    Nous redescendons cette route (environ 16 km), et tout se passe comme si Kévin avait roulé en scoot toute sa vie…

     

    L’après midi direction BORSANG, à l’opposé (plein est), toujours en scoot, où nous devons visiter des fabriques artisanales de tous ordres.

     

    Nous commencerons par la fabrique d’ombrelles, pour laquelle Chiang Mai est réputée nationalement. Travail artisanal s’il en est, effectué par des femmes.

     

    Coupe des bambous  en fines lamelles à dimension  pour former le mécanisme intérieur, puis papier d’amidon séché  et  peint à la main.

    Un vrai savoir faire propre à la région. Nous admirons la dextérité de ces femmes sans âge …

     

     

     

     

     

     

     

     

    Visite du centre de joaillerie et de pierres précieuses : sans commentaires tellement les objets étaient beaux et … chers à la fois, enfin pour notre budget.  Pourtant une vendeuse parlant français nous a suivi tout le temps de notre visite, et a espéré jusqu’au bout nous vendre quelque chose, en vain.

     

    Visite d’un atelier de production de soie. Explication sur les vers à soie Chinois (blancs) et les Thai (jaune), tissage à la main et boutique de vente assez incroyable, tant la production était splendide.

    On s’est accroché pour ne pas trop succomber à la tentation, et avons opté pour de tous petits objets recouverts de soie. Adieu les tuniques, les pantalons, les écharpes d’une douceur infinie, et des couleurs, des couleurs. Bref, que du beau. On s’est gavé visuellement, et nous étions ravis !

    Retour dans les embouteillages. Kévin s’enhardit, et n’est pas loin d’égaler Fangio (mais en mob), tout content de lui. Nous décidons de garder notre bel engin une journée de plus, car il est bien pratique de se déplacer comme ça.

    Troisième jour : 

    nous décidons d’explorer la ville lentement.

     

    déjeuner dans un bouiboui thai super bon !

     

    Lentement, disais-je :

    Bien nous en a fait. Nous « nous perdons » dans une rue qui n’a l’air de rien, et qui va s’avérer être la rue branchouille de Chiang Mai : galeries de peinture, ateliers créatifs, antiquaires, café littéraire (où nous aurons une longue conversation avec le propriétaire qui revenait  s’installer dans son pays après 15 ans à New York.)

     

    Bien sympa tout cela. Décor qui mérite de passer les portes d’entrée à peine avenantes. Mais après …Le choc du raffinement, les demeures en teck du siècle dernier, ambiance zen s’il en faut. Pur bonheur.

     

     

     

     

     

    A peine sortis de ce quartier, qui en fait, est en train d’émerger et de s’épanouir, que nous sommes attirés par des chants et musique dans un temple. Nous rentrons et découvrons en fait une kermesse d’école Thai, où règne une folie totale. Des groupes de jeunes élèves ont  des défis à relever (style aller chercher un objet avec sa bouche dans une casserole de farine, alors qu’ils ont auparavent trempé leur tête dans l’’eau … ) Là où ça devient intéressant, c’est que chaque équipe a son groupe de supporters filles, pom-pom girls, habillées half thaie half pom-pom, dansant sur une chorégraphie bien huilée, tout cela au son de percussions orientales.

     

    Nous restons un bon moment à les observer. Nous rentrons contents de notre journée, et aurons en prime la surprise de rencontrer le soir, par le pur des hasards, un des copains de Kévin, au restaurant du coin. Le monde est plus que petit !!!

     

     

     

    Chiang Mai est connu aussi et surtout pour ses trecks en montagne à la découverte des différentes ethnies : Karen (originaires de Birmanie), les Lahue(d’origine sino-thibétaine (ils cultivaient autrefois l’opium), les Akha, d’origine tibeto-birmane,  et les Lisu ;

    Bien sur, grande polémique sur l trecks qui conduisent peut-être à du voyeurisme ou à la connaissance tout simplement de peuplades qui accueillent assez facilement les étrangers ?

    Bref, tout l’art consiste à choisir son treck : suffisamment respectueux, tout en lasissant la liberté de la découverte. Pas facile.

    En plus, bien sur ces trecks sont l’opportunité de parcourir des sublimes payages, des cascades sans noms, d’aller dans les réserves d’éléphants etc…

    Kévin choisira un treck de 3 jours (le plus long), il ira coucher chez l’habitant dans je ne sait quelle tribu. A l’heure où je rédige ces quelques lignes il n’est pas revenu.

    Pendant son abence, soins de moi : coiffeur, massages, manucure et tuti quanti ! tarifs dérisoires obligent…

    Ensuite, découverte de temples nouveaux, de rues que nous avions mises de côté, et surtout le market du dimanche !

    Dans une grande partie de la zône centrale de CHIANG MAI délimitée par une enceinte et des douves remplies d’eau (à ne pas boire …), se réunissent les marchands de tout le nord de la Thaïlande, sinsi qu’artisans, artistes de tous genres. La qualité est au rendez vous dans la majorité des cas, et la population Thai ne manquerait sous aucun prétexte l’occasion de déambuler dans ces rues colorées et chatoyantes, lumineuses grâce aux lampions omniprésents qui donnent à l’Asie cette atmosphère nocturne si particulière.

    Donc Kévin aura manqué le plus beau des marchés de Thaîlande qu’il m’ait été donné de voir pendant tout ce périple en Thaïlande. Pour tous les futurs voyageurs de cette région : à ne pas manquer sous aucun prétexte.

     

    Retour de Kévin, toujours cool, après 3 jours de treck dans la montagne. Pas fatigué le moins du monde, ayant fait des rencontres sympas avec ses compagnons non pas d’infortune mais de balade.

    Conclusion de son treck :

    Pas trop difficile physiquement parlant, très stupéfiant au niveau des paysages, belles cascades avec baignades sympas avec les collègues etc…

    Par contre :

     

    -        Découverte des femmes girafes les « Karene », mode touristes visitant un zoo, ce qui a fortement choqué Kévin

    -        Absence d’intérêt et de découverte des ethnies locales tant vantées dans les brochures (certes il a dormi dans un village, mais de là à dire qu’il a touché du bout du doigt l’authentique…)

    -        Kévin a réalisé que son Anglais était très nettement insuffisant , et s’est senti frustré de ne pouvoir dialoguer correctement, même si, une guitare trainant dans un des camps lui a permis très aisément de rallier  l’équipe autour d’un feu de camp et quelques bières et autres denrées communes dans ces montagnes si proches du Triangle d’or !

     


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  • les Klongs à Bangkok

     

     

    LES KLONGS de BANGKOK

    les Klongs à Bangkok

     

     

    Dernière après midi à Bangkok pour Kévin et moi, et nous décidons de nous promener en long-tail boat dans les Klongs (canaux), afin de terminer sur une note, certes touristique, mais plus authentique et surtout ,moins envahie par les touristes.les Klongs à Bangkok

     

    Nous partons de la Pier PINKLAO sur la rivière ……, là où nous avons l’habitude de prendre nos navettes par bateau, et négocions un bon prix pour deux heures de balade que pour nous, en prenant notre temps.

     

     

    les Klongs à Bangkok

    Tout de suite, on est dans un autre monde, loin du tumulte de la ville, et pourtant à quelques encablures de la rivière. les Klongs à Bangkokles Klongs à BangkokNous rencontrons quelques autres bateaux faisant une portion de trajet identique au notre, et puis, tout devient plus calme, notre bateau est obligé de ralentir vu l’étroitesse du canal à certains endroits, au point même de s’arrêter lorsque le virage se fait à angle droit.

    les Klongs à Bangkok

    Nous avons tout loisir d’admirer ces très vieilles maisons sur pilotis, où s’affèrent de nombreuses personnes agées . Lessive, cuisine, ménage dans un fouillis amoncelé par les années  et qui constitue leur quotidien inchangé. Leur sourire à notre égard me laisse un peu perplexe. Est-ce le sourire de bienvenue, où bien leur étonnement de voir ces touristes se perdre dans leur univers ?

     

    Je préfère opter pour la première solution. Plus on avance, et plus le décor se veut pittoresque et exotique. Palmiers, bananiers à qui mieux mieux bordent ces rives à la fois belles et sales. De ça de là, on aperçoit des prolongations perpendiculaires au canal,

      les Klongs à Bangkokl'épicerie du coin

    qui constituent cette toile d’araignée avec  et par laquelle tous ces gens subsistent tant bien que mal dans ce monde de fou qu’est devenu la capitale. Nous avons l’impression d’être quelque peu Indiana Jones au pays bridé…Temples modestes entourés de jardins luxuriants offrant à ces Thais la divine éventualité du Nirvana …

     

    Stop à une ferme d’orchidées. les Klongs à BangkokJe pense fort à ma tante passionnée de fleurs qui aurait été émerveillée par la pureté et la force des couleurs parmi les racines aériennes.les Klongs à Bangkok La chaleur se veut  moite sous les toiles qui protègent les milliers de plantes cultivées par un couple d’une gentillesse extrême. On est loin de l’accueil déplorable auquel on a eu droit dans la ville.les Klongs à Bangkok

    les Klongs à Bangkokles Klongs à Bangkok

    Où est le pays du sourire ? que dire de ce tourisme de masse qui a tout gaché jusqu’à leurs coutumes ancestrales ?!!! On ne peut s’empêcher de remarquer la différence entre ce qui constitue « la vie moderne » et la vie traditionnelle… constat banal mais ô combien évident ici !

    Nous revenons à notre hotel près de Kao San, après une plongée dans le Bangkok d’autrefois qui nous a fait planer l’espace d’une promenade en long-tail…

    les Klongs à Bangkok

    Demain matin, lever tôt (4h 30) pour aller au Cambodge, et nous régaler avec les vestiges de la civilisation Kmer…

     


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    QUARTIER CHINOIS à BANGKOK

     

    en route ou en bateau plutôt vers le Chinese City

    Après avoir donné dans le tourisme culturel classique, nous décidons de prendre une bouffée de Chine à l’intérieur de Bangkok.

     

    Le guide du routard nous mettant l’eau à la bouche quant à la découverte à pied de ce quartier, en route pour prendre à  nouveau le bateau pour descendre un peu plus au sud et profiter de quelques heures prometteuses.

    Dès l’arrivée, on se demande si on parle chinois ou thai. En fait, ce sont les deux langues qui sont pratiquées. Tout de suite une autre ambiance, évidemment l’atmosphère asiatique est toujours très prenante. Les commerces changent du tout au tout. On ne voit plus l’artisanat thai avec son lot de jolies fringues, ses statuettes en bronze de Bouddah, ses sacs en tissus chamarés, mais des étalages et des vitrines de mille cochonneries, de babioles immettables et surtout d’un mauvais gout bling-bling, alliant le plastique bon marché à la quincaille de bazar de seconde zône !

     

    On nous avait annoncé une vie typique où l’on verrait les mamies occupées à leurs taches quotidiennes, brassant casseroles et enfants …. Le tout  teinté  d’un exotisme débridé (ouah ouah, je ne la ferai plus celle là). En fait on se retrouve dans des « souks » à la chinoise, un entrelas de ruelles toutes plus petites les unes que les autres, où marcher tient de la gageure. Des commerces, des commerces, et des commerces, de nourriture, de vêtements bon marché, de maroquinerie plastique, de sandales où Bata ferait office de haute couture…

     

    Bien sûr, nous nous perdons. Comment en eut-il été autrement ? Aucun nom de rue  écrit en Anglais. Les panneaux sont tous en Thai.  On tourne en rond, et la faim commence à nous laminer les chaussettes ! mais, mais…. Les petits bouis bouis que nous trouvons ne sont pas comme ailleurs ! En fait quand on passe devant, on a envie de fuir !!! on est loin des grillades et pad thai appétissantes  que l’on trouve partout en Thaïlande ! Des gamelles, oui, des soupes ressemblant à de l’eau croupie dans laquelle flottent quelques éléments ressemblant à des globes oculaires… la vraie vie, quoi !

    Pour couronner le tout, une foule dense, grouillante partout, un air pesant et lourd, une chaleur à ne pas sortir un chti dehors (hein, Marie-Jeanne ?!!!). Bref, on est las et mort de fatigue d’avoir piétiné pendant des heures. On arrête là ; on rentre à la maison !!!!!

     


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    LE GRAND PALAIS à BANGKOK et le WHAT PHRA KAEO

    Très couru des Thais et des Etrangers.

    Temples aux couleurs vives, façades recouvertes de dorures, faiences multicolores. On est dans la démesure totale

     

    Je ne ferai pas de visite guidée ici (car je n’aurai plus rien à raconter plus tard !!!!). les photos, y’a rien de tel !

     

    Comme beaucoup de temples en Thailande, il est extrêmement difficile de les photographier. Les détails de sculpture  certes sont intéressant, mais c’est avant tout la notion d’ensemble de bâtiments constituant un temple à l’intérieur d’ une enceinte qui est intéressante. Les couleurs se chevauchent, les  chédis  rivalisent de flèches ouvragées et dorées,  pointées vers le ciel , les rangées de bouddah alignées sous les arcades (ici plus de 450 bouddah sont alignés…). Bon, vous aurez compris que j’ai pris des photos qui ne ressemblent à rien en comparaison de ce que nous avions sous les yeux !


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